PEARCE, Michael
par
La vie de Michael Pearce se partage entre l’Égypte, où il est né et où il a grandi alors que le pays était encore sous tutelle de l’Empire Britannique, et la ville de Londres qu’il habite aujourd’hui. Œuvre d’un fin connaisseur des traditions et des réalités sociales et politiques de régions du monde où il a non seulement enseigné mais aussi milité pour la défense des droits de l’homme, la série des aventures du Mamour Zapt puise aux sources de ces cultures si différentes. En 1992, The Mamur Zapt and the Spoils of Egypt a été couronné par le Last Laugh Award décerné par la Crime Writer’s Association, comme le roman policier le plus drôle de l’année. En 1997 paraît Dimitri and the Milk Drinkers, premier volume d’une nouvelle série mettant en scène Dimitri Kameron, dans la Russie de l’époque du tsar.
Série du Mamour Zapt
Histoire : L’histoire du Mamour Zapt, débute en 1908, au Caire, une ville qui comprend plus de vingt nationalités différentes, au moins cinq religions importantes, trois langues principales et plus d’une vingtaine de dialectes, quatre systèmes juridiques concurrents, et deux gouvernements. Le Mamour Zapt, de son vrai nom le capitaine Gareth Cadwallader Owen, est le chef de la police politique. A ses côtés, on trouve Mahmoud, jeune juriste égyptien, Nikos et Georgiades des Grecs, agents du Mamour Zapt, McPhee, sous-commandant de la police.
Titres : Parus aux éditions 10/18, collection Grands Détectives
- Le retour du tapis (The Return of the Carpet-1988)
- La nuit du chien (The Night of the Dog-1989)
- Le coin des ânes (The Donkey-Vous-1990)
- Troubles au Caire (The Men Behind-1991)
- La belle du Nil (The Girl In The Nile-1992)
- (The Spoils of Egypt-1992)
- (The Camel of Destruction-1993)
- (The Snake Catcher’s Daughter-1994)
- (The Mingrelian Conspiracy-1995)
- (The Fig Tree Murder-1997)
- (The Last Cut-1998)
- (Death of an Effendi-1999)
- (A Cold Touch of Ice-2000)
- (The Face in the Cemetery-2001)
- (The Point in the Market-2005)
- (The Mark of the Pasha-2008)
Commentaire : Série qui se lit assez bien. On y voit une autre Égypte, que celle de l’archéologie, il y a beaucoup de politique, quoique très riche durant cette période du début du siècle, se qui est tout aussi passionnant.